Jeunesse engagée.
Chers Lecteurs,
SANTÉ BOHNEUR PROSPERITÉ
Que 2024 soit remplie de nouveaux projets personnels et professionnels pour vous et tous ceux qui vous sont chers !
Je vous propose de bien vouloir continuer le chemin de l’entretien à travers un nouveau portrait qui donne la parole à la jeunesse. Je souhaite poursuivre ce chemin juvénile en revenant avec vous sur le parcours d’un jeune engagé au service de la communauté qui a su faire sien le chemin pour mêler de front sa passion de la politique et de l’engagement.
Management Commerce Opérationnel. C’est dans ce domaine que notre interrogé obtiendra un BTS dans le cadre de son cursus supérieur. Dans cette continuité, notre personnalité effectue un Master PGE à l’ESI Business School, lui permettant d’être Ingénieur Développement durable et communication à l’Institut Pasteur, en alternance, dans ce cadre.
CA et Vie étudiante. Fort de son implication et de son engagement étudiant, notre interrogé sera élu-étudiant au sein du Conseil d’Administration de l’Université de Toulouse – Jean Jaurès et membre du Conseil de la Vie étudiante à la Mairie de Toulouse.
ELYZE. Dans la continuité de son engagement notre personnalité fera partie de l’équipe qui lancera cette application civique durant la campagne présidentielle de 2022.
Les Engagés. Le parcours professionnel et politique de notre interrogé prend un nouveau tournant suite aux élections municipales de 2020 et son engagement associatif. C’est à ce moment-là qu’il fonde la section toulousaine de l’association. Ce qui lui vaudra une évolution au sein de la structure l’amenant à la tête des Engagés en septembre 2023.
Je vous laisse découvrir le portrait de M. Alexis Costa, président de l’association Les Engagés.
Ce portrait a été réalisé par un échange de courriers électroniques avec M. Costa.
Bonne lecture !
@romainbgb – 23/01/24
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Biographie express de M. Alexis Costa :
*1996 : Naissance à Toulouse (Haute-Garonne).
*2018 : Titulaire du Baccalauréat série STL spécialité Biologie humaine.
*2018-2019 : -responsable qualité Bouygues Télécom à Bucarest (Roumanie).
-élu au CA de l’Université de Toulouse – Jean Jaurès.
*2019-2021 : Titulaire d’un BTS Management Commerce Opérationnel.
*2019-2020 : -conseiller mobilité Tisséo en alternance.
-membre du Conseil de la Vie étudiante à la Mairie de Toulouse.
*mars 2020-juin 2022 : fondateur « Les Engagés » – Toulouse.
*déc.2020-janv.2023 : Directeur du Développement National – « Les Engagés ».
*2021-2024 : Master PGE à l’ESI Business School.
*2021-2022 : conseiller commercial La MGP en alternance.
*nov.2021-déc.2022 : membre de l’équipe ELYZE.
*depuis sept.2022 : Ingénieur Développement durable et communication à l’Institut Pasteur, en alternance, dans le cadre du Master.
*sept.2022-sept.2023 : Vice-président « Les Engagés ».
*depuis sept.2023 : président « Les Engagés ».
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À quoi rêvait le petit Alexis lorsqu’il était enfant ?
« Enfant, je rêvais d’être astronaute. Cependant, en grandissant, j’ai développé un intérêt marqué pour l’Histoire et la politique ainsi que pour l’entreprenariat, ce qui a orienté mes choix de carrière ainsi que mon parcours académique. »
Comment est née votre rencontre avec la politique ?
« Ma rencontre avec la politique s’est faite via l’engagement militant de mon grand-père sur le plan local, bien qu’il n’ait jamais été élu, il a joué un rôle crucial dans l’éveil de mon intérêt pour la politique. La passion et le dévouement de mon grand-père pour l’intérêt général ont non seulement influencé ma perspective sur l’importance de servir la communauté, mais ils ont également semé les graines de mon propre parcours dans ce domaine.
« Ce lien familial m’a permis de comprendre à un jeune âge que la politique va au-delà des ambitions personnelles et qu’elle est fondamentalement liée au service et au bien-être de la communauté. En observant les efforts de mon grand-père, même face aux défis et aux revers, j’ai appris la valeur de la persévérance et de l’engagement envers des causes plus grandes que soi.
« Cela a façonné ma vision de la politique comme un moyen de faire une différence positive dans la société. Il a également influencé mon approche de la politique, en mettant l’accent sur l’écoute, la compréhension des besoins de la cité et le travail acharné pour répondre à ces besoins, même en l’absence de succès électoral. »
Que retenez-vous de vos années lycéennes ?
« Mes années lycéennes sont gravées dans ma mémoire comme une période extrêmement précieuse et formatrice. C’est à cette époque que j’ai commencé à me développer et à mûrir intellectuellement, une phase clé dans mon évolution personnelle. Le Lycée a été le lieu où mes intérêts pour la biologie, l’Histoire et la philosophie ont pris racine. Cette exploration diverse m’a non seulement permis d’élargir ma compréhension du monde, mais a également stimulé mon esprit critique et ma curiosité intellectuelle.
« En plus de cet enrichissement académique, le Lycée a été fondamental dans l’établissement de liens sociaux durables. C’est là que j’ai rencontré des personnes qui sont passées de simples camarades de classe à devenir mes meilleurs amis. Ces amitiés, forgées entre les murs de l’établissement, ont résisté à l’épreuve du temps et restent un élément central de ma vie. »
Quel regard portez-vous sur la campagne présidentielle de 2017 ?
« La campagne présidentielle de 2017 en France, à mon sens, s’est déroulée dans une atmosphère marquée par une insatisfaction croissante vis-à-vis des partis politiques établis. Cette période a été caractérisée par des préoccupations majeures autour de l’économie, de la sécurité et de l’identité nationale. Ces élections ont également servi de baromètre pour mesurer l’attitude du public français envers des questions cruciales telles que l’Union européenne, l’immigration et les impacts de la mondialisation.
« De mon point de vue, l’élection d’Emmanuel Macron a représenté un pivot significatif, interprété par certains analystes comme une victoire du centrisme et un rejet des idéologies extrêmes. Cette élection a été perçue comme une confrontation entre ce qui était perçu comme le « nouveau monde » – un mouvement politique novateur et centré – et « l’ancien monde » des partis traditionnels. Les résultats ont mis en évidence des divisions profondes au sein de la société française et un désir manifeste de renouvellement politique et économique. »
Quel regard portez-vous sur vos mandats au CA et au Conseil de la Vie étudiante ?
« C’était la première fois que je m’engageais de manière bénévole dans des fonctions liées à la citoyenneté, et cela a été une expérience enrichissante à bien des égards.
« Au sein du CA et du CVE, j’ai eu l’occasion de travailler en collaboration avec d’autres étudiants et de contribuer activement à la vie de l’établissement. Cela m’a permis de développer des compétences en matière de prise de décision, de gestion de projets et de communication, qui sont essentielles dans ma trajectoire personnelle et professionnelle.
« De plus, ces mandats m’ont sensibilisé aux enjeux et aux besoins des étudiants, ce qui a renforcé mon désir de m’impliquer davantage dans des initiatives en faveur de la jeunesse et de l’engagement citoyen. En somme, ces expériences ont été une première étape importante dans mon parcours d’engagement bénévole et dans ma compréhension de la citoyenneté active. »
Comment avez-vous vécu les élections municipales de 2020 ?
« Les élections municipales de 2020 ont été pour moi une période exceptionnelle, notamment parce que c’était la première occasion où je me suis activement engagé en politique. J’ai eu l’honneur de figurer sur la liste électorale aux côtés de Christine Gennaro-Saint, en tant que colistier en seizième position pour la commune de L’Union, une commune de 12 000 habitants faisant partie de la métropole toulousaine. Cette expérience s’est avérée extrêmement enrichissante et formatrice, tant sur le plan personnel que professionnel.
« Durant la campagne, j’ai eu l’opportunité de me confronter directement aux préoccupations des résidents, ce qui m’a souligné l’importance cruciale d’être à l’écoute des citoyens que nous aspirons à représenter. Je suis très reconnaissant envers Mme Gennaro pour la confiance qu’elle m’a témoignée, et j’ai beaucoup appris à son contact.
« Bien que nous n’ayons pas gagné les élections, je considère cette aventure comme une expérience précieuse, qui m’a fortifié émotionnellement. C’est une expérience qui peut s’avérer épuisante mais qui reste néanmoins passionnante. La pandémie de la Covid-19 a ajouté une couche de complexité et, avec le recul, je pense que le scrutin a été indirectement influencé par la situation sanitaire. La crainte du virus a dissuadé de nombreux électeurs âgés de se rendre aux urnes, tandis que la mobilisation des jeunes pour ce type d’événement reste, malheureusement, traditionnellement faible. »
Vous avez lancé l’antenne toulousaine « Les Engagés ». Pourquoi ce choix ?
« Le choix de lancer l’antenne toulousaine des « Engagés » découle de ma première rencontre avec le mouvement en février 2020, à la suite d’une tribune sur l’engagement des jeunes, co-signée par des figures comme Grégoire Cazcarra, Léna Van Nieuwenhuyse et Athénaïs Michel. Ce texte, publié dans Le Parisien, traitant de l’engagement des jeunes dans le contexte des élections municipales et signé par une centaine de jeunes, m’a interpellé et m’a inspiré à en apprendre davantage sur Les Engagés.
« Après m’être renseigné auprès de Grégoire et sur le site internet des Engagés, l’idée de sensibiliser la jeunesse à l’engagement m’a profondément touché. Je crois fermement que des actions comme les débats, les conférences, et les échanges d’idées sont cruciaux pour la construction idéologique, culturelle et philosophique de chacun. Constatant l’absence d’une antenne dans ma ville de Toulouse, j’ai ressenti l’urgence et l’importance d’agir.
« C’est ainsi qu’en septembre 2020, l’antenne des Engagés Toulouse a vu le jour. Depuis lors, l’antenne ne cesse de croître avec l’arrivée de nouveaux jeunes partageant le même objectif : servir l’intérêt général. Mon engagement est motivé par la conviction que servir l’intérêt général est un appel à l’action, et je suis déterminé à accompagner et à soutenir tous ceux qui partagent cette aspiration à Toulouse encore actuellement. »
Quel regard portez-vous sur votre rôle au sein de l’équipe ELYZE ?
« Mon expérience au sein de l’équipe ELYZE a été une aventure extraordinaire partagée avec des amis. Je suis particulièrement fier de l’initiative innovante prise par Grégoire Cazcarra et François Mari. Le développement de l’application ELYZE a eu un impact significatif, en rendant les programmes politiques des candidats plus accessibles et compréhensibles pour plus de trois millions de personnes. Le fait que les gens en parlent encore aujourd’hui témoigne de l’intérêt soutenu du public pour l’engagement civique et l’intérêt général. Cela confirme ma croyance que l’engagement pour l’intérêt général suscite une véritable résonance auprès des citoyens. Comme quoi on peut toucher les gens via la politique sans forcément se prendre la tête. »
Quel regard portez-vous sur la campagne présidentielle de 2022 ?
« La campagne présidentielle de 2022 s’est déroulée dans un contexte postpandémique, où l’impact de la crise de la COVID-19 a profondément influencé les thématiques politiques et économiques. Les stratégies de gestion de la pandémie et les questions de santé publique ont dominé les discussions, reflétant les préoccupations majeures de l’électorat. La polarisation politique s’est intensifiée avec la montée en puissance des partis extrémistes, reflétant un désenchantement vis-à-vis des partis traditionnels et soulignant les défis sociaux et économiques persistants.
« À mon avis, la campagne n’a pas été à la hauteur des attentes. Il y a eu un manque criant de débats substantiels et de clarté sur des enjeux capitaux tels que la jeunesse, l’enseignement supérieur, l’éducation, l’orientation professionnelle et la culture, qui n’ont pas été suffisamment discutés. La campagne s’est concentrée principalement sur la sécurité intérieure, le pouvoir d’achat et la crise en Ukraine, reléguant d’autres sujets critiques au second plan.
« Cela a été une source de déception pour moi. Non que ces sujets ne méritent pas d’attention, mais je crois fermement que les politiciens et les médias n’ont pas pleinement joué leur rôle en négligeant d’autres thématiques essentielles. En tant que citoyen et jeune, j’attendais davantage des candidats en termes de propositions concrètes, notamment sur des sujets tels que l’enseignement supérieur, la jeunesse et la culture. Ce n’est pas une critique directe envers un candidat en particulier, mais plutôt une observation que, collectivement, nous aurions dû demander et exiger plus de la part de tous les candidats lors de cette élection. »
Comment vivez-vous votre évolution au sein des « Engagés » ?
« Ma progression au sein des « Engagés » est une expérience enrichissante qui me tient à cœur. Depuis que j’ai pris la présidence de l’antenne toulousaine, j’ai été au centre d’une mobilisation jeunesse visant à réinvestir le débat public et à sensibiliser les 18-35 ans à l’importance de l’engagement citoyen et entrepreneurial. Notre but est de reconstruire un sentiment d’action collective à Toulouse et au-delà, ce qui, je crois, est essentiel pour une société dynamique et impliquée.
« Depuis sa création en 2017 à Bordeaux, Les Engagés ont grandi et touché plusieurs villes françaises. À Toulouse, nous nous efforçons de rassembler étudiants et professionnels pour former une communauté engagée. Nous utilisons les réseaux sociaux et d’autres moyens de terrain pour organiser des conférences et des débats, favorisant ainsi une participation active et constructive.
« En outre, notre fédération nationale est déterminée à lutter contre l’abstention, particulièrement chez les jeunes, en promouvant l’engagement citoyen à travers divers événements et un incubateur de projets. Par exemple, l’application Elyze, issue de notre incubateur, a connu un succès retentissant lors de l’élection présidentielle, aidant plus de 3 millions d’utilisateurs à identifier le candidat correspondant à leurs convictions.
« Aujourd’hui, alors que nous nous préparons pour les élections européennes de 2024, Les Engagés sont résolus à jouer un rôle clé pour mobiliser les jeunes. Nous envisageons d’organiser de grands événements avec des représentants de diverses listes et réfléchissons à la création d’une nouvelle application pour encourager une participation démocratique plus directe et engagée. »
Comment vivez-vous votre mandat de président des « Engagés » ?
« En tant que président de cette remarquable fédération, je vis mon mandat avec une grande responsabilité et un engagement profond envers notre organisation. Notre fédération, qui, je le rappelle, est apartisan et centrée sur la jeunesse, cherche à insuffler une nouvelle dynamique dans le débat public et à encourager l’engagement civique parmi les jeunes de 18 à 35 ans. Mon rôle est de promouvoir l’intérêt général, de favoriser l’engagement citoyen et entrepreneurial, et de lutter contre l’abstention en mobilisant et en inspirant cette tranche d’âge à s’impliquer activement dans la vie politique, associative et entrepreneuriale.
« Depuis sa création à Bordeaux en 2017 par Grégoire Cazcarra, Les Engagés ont étendu leur influence à plusieurs villes françaises, et en tant que président, je m’efforce de poursuivre cette mission avec la même détermination que mes prédécesseurs. Je suis investi dans l’organisation d’événements tels que des conférences et des débats, et aussi dans le lancement de nouveaux formats comme la soirée des institutions. Je suis fier que des projets portés par Les Engagés, tel que l’application Elyze, aient rencontré un grand succès en aidant les utilisateurs à s’orienter dans le paysage politique.
« Au fur et à mesure que Les Engagés se développent et ouvrent de nouvelles antennes, j’aspire à continuer de développer des initiatives innovantes qui rapprochent les citoyens des institutions démocratiques et encouragent une participation plus directe et significative dans notre démocratie. Mon mandat est vécu non seulement comme un honneur mais aussi comme une opportunité de contribuer à une société plus impliquée et informée. Cependant, mon mandat de président est également synonyme de défis, car mon ambition est de faire des « Engagés » l’association de référence en matière de mobilisation citoyenne.
« Pour cela, je sais que je peux compter sur une équipe exceptionnelle et sur nos adhérents, car c’est avant tout grâce à eux que nous progressons d’année en année. »
Comment se passe votre alternance au sein de l’Institut Pasteur ?
« Mon expérience en alternance à l’Institut Pasteur est extrêmement positive et se révèle être incroyablement enrichissante. Chaque jour, je fais face à des défis variés et stimulants qui jouent un rôle clé dans mon épanouissement professionnel et personnel.
« Être dans un cadre aussi renommé et à la pointe de l’innovation comme l’Institut Pasteur représente une chance inouïe pour moi. J’y acquiers une quantité considérable de connaissances, pas seulement dans mon domaine d’expertise, mais également sur les méthodes de travail collaboratif au sein d’une équipe composée de professionnels de haut niveau.
« En tant qu’alternant au service de développement durable, occupant la fonction d’ingénieur en développement durable et communication, je développe des compétences essentielles et gagne une compréhension approfondie des processus et des projets en matière de durabilité. Cette période est véritablement formatrice et s’avère être une source d’inspiration dans ma trajectoire professionnelle. »
Vous vous imaginez où dans 10 ans ? La politique, un métier ?
« Dans 10 ans, je ne peux pas encore affirmer avec certitude où je ne me trouverai ni quelle sera ma carrière. Cependant, ce que je sais, c’est que j’ai développé un fort engagement envers les causes qui me tiennent à cœur, notamment l’engagement citoyen et l’intérêt général. Bien que je n’aie pas encore pris de décision définitive quant à une carrière politique, je suis passionné par la possibilité de m’impliquer plus en profondeur dans le domaine politique et de contribuer de manière significative à la société.
« Mon expérience au sein des « Engagés » et mon travail à l’Institut Pasteur m’ont permis d’acquérir des compétences et des connaissances précieuses qui pourraient être mises au service de l’intérêt public à l’avenir. Je suis ouvert à toutes les possibilités qui se présenteront et je continuerai à m’engager activement pour mon pays. »
Quel rapport avez-vous avec les réseaux sociaux ?
« Mon rapport avec les réseaux sociaux est teinté d’une double perception. D’une part, je les considère comme des outils de communication professionnels indispensables. Ils offrent une plateforme efficace pour échanger, partager des informations et se connecter avec un public varié.
« D’autre part, j’ai des réserves, en particulier concernant leur impact sur les jeunes générations. Je suis préoccupé par la manière dont ces plateformes encouragent une culture de l’apparence individualiste et, parfois, la promotion de la nudité, ce que je trouve personnellement problématique.
« En outre, je suis d’avis qu’une régulation plus stricte est nécessaire sur les réseaux sociaux. La circulation de fausses informations et de contenus violents, qui sont actuellement diffusés librement, contribue à créer un climat de tension et d’anxiété dans notre société. Cette situation appelle, selon moi, à une modération plus rigoureuse afin de limiter la propagation de contenus potentiellement nocifs et de préserver la sérénité de l’espace public en ligne. »
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Merci à M. Costa pour sa bienveillance et sa disponibilité pour la diffusion du portrait.