Rencontre avec Monsieur le Député de la 10e circonscription des Yvelines : M. Jean-Frédéric POISSON.

Mercredi soir l’UMP Facs a eu le privilège de pouvoir rencontrer le Député Monsieur Poisson suite à son élection du 27 septembre dernier. Ainsi nous avons pu revenir sur les conditions de son élection et sur la présence du Parti Verts au sein de la campagne électorale et du score que ces derniers ont fait.

La présence forte sympathique et l’atmosphère de détente régnant dans la salle, un échange courtois et amusé a pu avoir lieu avec notre hôte. C’est ainsi que nous avons pu apprendre que le super-héros de bande-dessiné Goldorak a fait son entrée dans le Journal Officiel de la République française par le Député Poisson lors des questions au Gouvernement.

Mais ce n’est pas pour autant qu’un débat de fond a eu lieu : la présence du parti Vert dans les campagnes électorales et surtout la vision du monde que ces derniers entretiennent. Avec l’effet du film « Home » de Y-A Bertand et le score du parti « Europe Ecologie » aux élections européennes de juin 2009, le monde vert a repris du poil de la bête.

C’est sur ce sujet que le Député Poisson a voulu attirer notre attention pour montrer les dérives qui peuvent avoir lieu avec ce genre de pensée. Le mythe du bon sauvage de Diderot et la société telle que la décrivait Rousseau ont été mis en exergue pour étayer le sujet.

Avec l’approche des élections régionales de mars 2010, on peut se poser la question de savoir si finalement le danger ne viendrait pas du Parti Vert plus que du Parti Socialiste. Puisque en revenant sur sa victoire de septembre dernier, le Député Poisson nous a refait l’historique de la campagne. C’est ainsi qu’il nous a livré son analyse de victoire, et que contre toute attente ce n’est pas son principal adversaire socialiste mais l’élu vert qui a fait surprise dans la campagne.

Il faut donc tirer quelques leçons de cette élection qui puissent servir de fer de lance aux vingt-deux têtes de liste UMP pour les régionales de mars 2010 de pouvoir gagner les vingt régions que le parti majoritaire n’a plus depuis 2004.

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