petite pensée nocturne

L’envie que l’on peut avoir face à l’écriture comporte quelque chose d’assez étrange je dois dire. Quand on y réfléchit mieux le pouvoir de l’écriture, de la réflexion n’est point donné à tout le monde. C’est pour cela qu’il est donc important de pouvoir savoir si oui ou non l’on peut ou l’on est apte à cela. La réflexion est intense et peut parfois prendre des allures auxquelles on ne songe même pas.

Mais ce n’est pas pour autant que l’on doit tout abandonner. Bien au contraire, c’est là-dessus qu’il faut compter. Le rêve fondé sur l’espoir est quelque chose que nous possédons tous au fond de nous. S’il on arrive à pouvoir disserter sur ce sujet précis il convient d’être juste et d’essayer. Qui ne tente rien n’a rien.

Ce qui me ramène à une vieille réflexion que me fait souvent mon grand-père paternel : « quand on veut, on peut ! ». Je dois lui reconnaître la part de vérité qui sort de cette maxime. Il faut pouvoir croire à ses rêves, donner libre court à ses envies, tout simplement profiter de la vie.

La réflexion qui s’impose à moi est celle d’établir un travail libérateur autour de moi-même, de ma famille, mes amis. Famille on t’aime, certes, mais il peut arriver que cela amène à des situations disproportionnées. C’est justement cela qu’il faut éviter afin de rendre juste et cohérant la perspective du travail que l’on veut mener à terme.

Le point de réflexion commence sur ce vaste sujet qu’est l’écriture et le mode à travers lequel on peut arriver à développer ses sentiments face à tout ce que l’on peut ressentir au fond de soi. On ne peut guère savoir quoi penser vis-à-vis de l’autre, qui nous observe lui à son tour. Quel comportement, quelle attitude doit-on adopter ?

L’expérience que j’ai vécu à l’Ambassade de France à Rome en cela m’a été d’une grande aide et secours. Je dois avouer qu’être en contact avec les gens au sein du monde du travail permet d’ouvrir les yeux sur certaines choses. On réalise combien l’éducation de nos parents est très importante. Mais également un sentiment de grande joie, témoin de l’ambiance, nous envahie très vite. Ceci permet de relativiser sur beaucoup de chose. En effet la vie telle que l’on peut la voire n’est pas forcément en bonne corrélation avec celle telle qu’on la vit. Les sentiments ressentis face au monde qui nous entoure font face à l’inquiétude que les personnes ont. Il n’est guère simple de savoir ce qu’une personne ressent vraiment face à telle ou telle situation.

L’imaginaire peut être le côté sauveur de la situation diront certain. Mais contre ce sentiment quelle attitude adoptée ? La question n’est pas simple ; la réponse n’est point unique mais multiple. Le fait est que nous sommes tous unique, dans notre identité, personnalité, ADN. Savoir sur quel pied danser consiste aussi (d’une certaine) une façon de pouvoir entrevoir les choses.

Un jour il faudra bien se résoudre à admettre les choses telles qu’elles le sont. C’est sur ce dur labeur qu’au fond de nous chaque être humain doit mettre en place un système probant de remise en question sur soi.

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@romainbgb

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