Réflexion : acte II

Une certaine continuité dans mes notes, me porte à vouloir rédiger ce petit papier. Depuis le mois de septembre 2015, je suis un fidèle lecteur de l’hebdomadaire d’Eric Fottorino : Le un hebdo ! Tellement assidu, que depuis le mois de janvier j’ai franchi le pas en m’y abonnant. C’est alors que l’idée de cette note m’est venue, à la lecture du numéro 94, portant sur la politique et la question existentielle : « Comment ranimer la flamme ? »

Sans vouloir faire le jeu d’aucun parti politique présent sur l’échiquier de la vie politique française, j’ai trouvé que la question mérite d’être posé. C’est pourquoi je vous invite vraiment un jeter un petit coup d’œil sur ce numéro.

Mainte fois la question a été mise sur le devant de la scène, mais a-t-on réellement un jour trouvé la réponse suffisante permettant d’avancer ? Je ne pense pas. Et en toute sincérité je ne suis pas là, non plus, pour vous la donner. Réfléchir dessus est, me semble-t-il, primordial ! C’est pourquoi il convient de plus en plus de regarder ça de plus près.

A l’heure où les élus sont de plus en plus contestés, et les votes de plus en plus désabusés, le citoyen se retrouve très vite démuni face à l’Etat. Preuve une fois encore que tous les débats, une fois de plus sont déconnectés de la réalité. C’est à ce jeu-là que le premier parti de France pointe le bout de son nez : l’abstention ! Courage, fuyons ! A vous chères femmes et chers hommes politiques de bien en prendre conscience, en vue de la grande messe électorale qui s’annonce en France en avril et mai 2017.

En ce jour où une partie de la classe politique se met en marche vers Vesoul, et où l’autre se met dans une expectative, comme toujours, il est bon de se remettre en question sur les valeurs morales et politiques que l’on souhaite véhiculer pour son propre parti et pour la France en général. Un renouveau de toutes les bonnes vielles méthodes politiques que l’on a l’habitude de voir, doit effectivement très vite voir le jour, si l’on ne veut pas que le système politique en France finisse comme sclérosé. Mais à quel prix ?

Dans ce même numéro, « Le un » nous apporte quelques précisions par le biais de chroniques littéraires rédigées par différentes personnalités. Edgar Morin apportant ainsi sa pierre à l’édifice en intitulant son témoignage : « changer de voie. »

Autre petite chronique percutante à lire : celle d’Eric Fottorino, en fin de magazine, intitulée : « Constitution 2.0 ». Là encore, à méditer.

Bonne réflexion à vous !

Jacques Brel – Vesoul

@romainbgb – 23/02/2016

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