Une semaine, six extraits !
« Dans l’ombre des Présidents » – César Armand et Romain Bongibault – Editions Fayard – mars 2016
[TEASING] J-5 : Le cognac présidentiel vu par Jean-Louis Bianco.
Bonne lecture !
@romainbgb – 4/03/2016
Une semaine, six extraits !
« Dans l’ombre des Présidents » – César Armand et Romain Bongibault – Editions Fayard – mars 2016
[TEASING] J-5 : Le cognac présidentiel vu par Jean-Louis Bianco.
Bonne lecture !
@romainbgb – 4/03/2016
Une semaine, six extraits !
« Dans l’ombre des Présidents » – César Armand et Romain Bongibault – Editions Fayard – mars 2016
[TEASING] J-6 : Le coureur de jupons présidentiel vue par Claude Pierre-Brossolette.
Bonne lecture !
@romainbgb – 3/03/2016
Une semaine, six extraits !
« Dans l’ombre des Présidents » – César Armand et Romain Bongibault – Editions Fayard – mars 2016
[TEASING] J-7 : La gestion de la maladie présidentielle sous Georges Pompidou par Edouard Balladur.
Bonne lecture !
@romainbgb – 2/03/2016
Une certaine continuité dans mes notes, me porte à vouloir rédiger ce petit papier. Depuis le mois de septembre 2015, je suis un fidèle lecteur de l’hebdomadaire d’Eric Fottorino : Le un hebdo ! Tellement assidu, que depuis le mois de janvier j’ai franchi le pas en m’y abonnant. C’est alors que l’idée de cette note m’est venue, à la lecture du numéro 94, portant sur la politique et la question existentielle : « Comment ranimer la flamme ? »
Sans vouloir faire le jeu d’aucun parti politique présent sur l’échiquier de la vie politique française, j’ai trouvé que la question mérite d’être posé. C’est pourquoi je vous invite vraiment un jeter un petit coup d’œil sur ce numéro.
Mainte fois la question a été mise sur le devant de la scène, mais a-t-on réellement un jour trouvé la réponse suffisante permettant d’avancer ? Je ne pense pas. Et en toute sincérité je ne suis pas là, non plus, pour vous la donner. Réfléchir dessus est, me semble-t-il, primordial ! C’est pourquoi il convient de plus en plus de regarder ça de plus près.
A l’heure où les élus sont de plus en plus contestés, et les votes de plus en plus désabusés, le citoyen se retrouve très vite démuni face à l’Etat. Preuve une fois encore que tous les débats, une fois de plus sont déconnectés de la réalité. C’est à ce jeu-là que le premier parti de France pointe le bout de son nez : l’abstention ! Courage, fuyons ! A vous chères femmes et chers hommes politiques de bien en prendre conscience, en vue de la grande messe électorale qui s’annonce en France en avril et mai 2017.
En ce jour où une partie de la classe politique se met en marche vers Vesoul, et où l’autre se met dans une expectative, comme toujours, il est bon de se remettre en question sur les valeurs morales et politiques que l’on souhaite véhiculer pour son propre parti et pour la France en général. Un renouveau de toutes les bonnes vielles méthodes politiques que l’on a l’habitude de voir, doit effectivement très vite voir le jour, si l’on ne veut pas que le système politique en France finisse comme sclérosé. Mais à quel prix ?
Dans ce même numéro, « Le un » nous apporte quelques précisions par le biais de chroniques littéraires rédigées par différentes personnalités. Edgar Morin apportant ainsi sa pierre à l’édifice en intitulant son témoignage : « changer de voie. »
Autre petite chronique percutante à lire : celle d’Eric Fottorino, en fin de magazine, intitulée : « Constitution 2.0 ». Là encore, à méditer.
Bonne réflexion à vous !
@romainbgb – 23/02/2016
Comme une machine bien huilée, du temps de l’UMP, les élections internes du parti avaient lieu tous les deux ans. Plusieurs événements feront que cette cadence sera rompue et l’inconnue sur le sort des instances internes restera de facto dans le flou pendant presque plus de cinq ans.
L’un des premiers événements qui cause un premier effet suspensoir dans le renouveau interne restera la démission (secrète ?) de Benjamin Lancar de la présidence du mouvement des Jeunes le 31 décembre 2012. Son entrée à l’ENA signera la fin (pour le moment) de sa carrière politique.
Il faut dire que cette cadence du renouveau a été cassée un soir de novembre 2012 lorsque le Capitaine Fangio et le Maestro Iznogoud sont entrés en guerre interne en ce qui concerne la présidence du mouvement. Depuis cette interminable soirée, tout a été figé. Au point même qu’il faudra attendre la création d’un nouveau parti par Nicolas Sarkozy le 30 mai 2015, pour avoir l’espoir d’entendre parler à nouveau d’élection interne au sein de notre famille politique.
Les dates sont donc fixées : le samedi 30 janvier 2016 et le dimanche 31 janvier 2016 (en cas de second tour).
Un souvenir. Une flute de champagne. Un visage. Deux sourires. Une soirée.
Je ne suis pas le meilleur témoin pour décliner ses soixante-quinze années, mais j’aurai le privilège [indirect] de cette soirée. Se souvenir des belles choses.
Deux moments de vie qui resteront à jamais gravé dans ma mémoire. La rencontre en ce soir de novembre 2004 et cette soirée de janvier 2016. Comment ne pas oublier ?! Cette rencontre marquera à jamais un passage dans ma vie. Ses précieux conseils, son regard bienveillant et ses avis tranchés sur tout. Je ne vous oublierai jamais.
Le projet à venir en mars prochain vous est bien évidemment dédié et je ne peux que vous associer à la suite !
Je rend donc ici hommage à ce haut magistrat, serviteur devant l’éternel, que Dieu a bien voulu rappeler à lui la semaine passée. Les meilleurs partent toujours les premiers, aller savoir pourquoi ?!
Santé et conservation cher Jean-Claude !
De là-haut je sais que votre regard bienveillant sera toujours là, sur nous !
Nous nous reverrons un jour ou l’autre !
MERCI !
@romainbgb – 14/01/2016
Une nouvelle page a été tournée avec l’arrivée de 2016, faisant suite à celle, assez noire, que fut 2015. A ce titre là, la France ne fut pas épargné. Débuté avec les cinglantes balles de Charlie Hebdo et de l’hypercasher de Vincennes, elle s’achèvera dans le sang des attaques terroristes de Paris et Saint-Denis.
C’est dans ce contexte douloureux qu’une nouvelle année arrive concluant les festivités de fin d’année. Les vœux pour la nouvelle année peuvent commencer, les bonnes résolutions avec, aussi !
Un nouveau projet personnel verra le jour cette année. Ma bonne résolution à moi pour cette année, en vous apportant un peu de lecture 🙂
Les nouvelles aventures pour 2016 peuvent ainsi commencer. Je vous souhaite à vous tous et tout ceux qui vous sont chers, une bonne et heureuse année 2016 !
« 2015 fut une année de souffrance et de résistance, alors faisons de 2016 une année de vaillance et d’espérance. »
François Hollande – Vœux aux Français, Palais de l’Elysée – 31 décembre 2015
Tant qu’il y a vie, il y a espoir !
@romainbgb – 2/I/2016
-patriotisme : nm (pa-tri-o-ti-sm’)
1. Amour de la patrie.
Définition du Littré
-nationalisme : -> nationaliser
vt (na-sio-na-li-zé)
1. Néologisme. Rendre national ; faire adopter par une nation.
Définition du Littré
Cette année 2015 n’est pas encore achevée que la ville de Paris a été le théâtre macabre de fusillades qui l’ont touchée en plein cœur. Avec les évènements du 11 janvier, on pensait déjà avoir touché le fond. Dans la soirée du vendredi 13 novembre, l’impensable arrive. Sept points de la ville lumière sont pris pour cible. Des centaines de blessés graves et cent trente personnes y perdront leurs vies. Plus facile à dire qu’à faire, c’est dans ces moments-là où la vie se doit de reprendre, pour tous.
Permettez-moi de reprendre les mots prononcés par le député-maire du Havre, Edouard Philippe, devant la représentation nationale lors de la séance des questions au Gouvernement du 18 novembre :
« Il faut éviter de sombrer dans les invectives et les provocations qui sont peut-être la marque des démocraties vigoureuses, mais qui ne sont pas à la hauteur du moment, pas à la hauteur des morts et, au moins aussi grave, pas à la hauteur des vivants. »
La devise de la ville de Paris reprend, dans ce sens, toutes ses lettres de noblesse dans sa locution latine : “Fluctuat nec mergitur” ; “il est battu par les flots, mais ne sombre pas.”
Lorsque l’on repense à nos cours de physique et/ou de chimie au lycée, on a souvent un grand vide qui nous revient en mémoire. Le sujet de ce billet est surtout pour comprendre comment ces deux notions peuvent s’imbriquer dans notre vie amoureuse. Quand on y pense certaines réactions amoureuses en prennent le chemin. C’est ainsi que j’aimerais me poser la question, le temps d’un billet, sur le fait de comprendre comment les sentiments chimiques peuvent être perçu, voir ressenti, comme des sentiments physiques.
L’amour est elle une réaction physique ou chimique ?