Résultat élection interne UMP Paris

Paris, le 31/10/2010

Cher amis,

comme vous le saviez à travers un message posté sur mon blog  j’avais prit part comme il y a de ça déjà deux ans, à la campagne pour les élections internes au sein de l’UMP et de la Fédération de Paris.

Je m’étais donc porté candidat au poste de Conseiller National de la Fédération de Paris et en tant que Membre du Comité de Circonscription au titre de la nouvelle 2ème circonscription qui voient le jour.

Les résultats sont tombés cette après-midi :

Je suis élu pour un nouveau mandat de deux ans au poste de Membre du Comité de Circonscription.

Merci à vous tous pour la confiance que vous avez pu m’accorder.

Amitiés,

@romainbgb

 

Fédération de Paris : résultats officiels des élections internes du 21 au 30 octobre 2010

2 EME Délégué TIBERI Dominique
Conseillers Nationaux ARCHAMBAULT François
ARNOULD Alexandre
BOSSARD Jean-Charles
DELAPORTE Philippe
PINSON Dominique
Comité de Circonscription ALLISIO Franck
ANGOT Annick
ARCHAMBAULT François
ARNOULD Alexandre
BAKOUCH Benjamin
BAUER Barbara
BENARBA Mahieddine
BESSOLES Marc
BONGIBAULT Romain
CANE Louise
CHABOT Dominique
CHAIX Carine
CHOMAUDON Eric
CIRIEGI Evelyne
COLLELA Evelyne
D ANCONA CATINO Claude
DAUGUET Patrick
DE MONTS DE SAVASSE Hervé
DEPINCE Monique
DESCHAMPS Danièle
DRIANT Jérôme
DUBOIS Yves
FORT Clémence
GABADOU PIARD Corinne
GAUTHIER Cédric
GOIRAND Alain
GROUCHKA SOUHAITE Anne Sophie
GRUSKA Catherine
GUENA Arnaud
HACKE Violaine
HERMANN Anne Marie
ICHARD Jean Louis
ISARE Benjamin
JODELET Danièle
LANTZ Brigitte
LARCHEVEQUE SASSIER Ghislaine
MARCOU Micheline
MENARD Alain
PINSON Dominique
POULET Bernard
PRAT Thérèse
RAYNAUD Christiane
RAZON David
REZAGUI Kamel
RICHARD Vivien
SERIDJ Lydia
TOLEGANO Marc
VALLEE Alexandre
VIARGUES Sarah
Repr. Nouveaux adhérents BALANDINA Svetlana
BAPTISTE Dominique
BOUJETON Muriel
CANELLAS Christiane
CANELLAS Marcel
CLEMENT Marina
FOUBERT HULEUX Véronique
HANIAK Zofia
LAINGUI Jean Baptiste
LELIEVRE Pierre
LUCCA Pauline
RAMONENC Christophe

http://www.u-m-p-paris.org/spip.php?article920

Profession de foi

Depuis mon plus jeune âge je me suis intéressé à la vie politique, quelle soit nationale ou internationale.
Jeune motivé et dynamique, ayant le goût du voyage, ouvert au débat et militant actif, je reste fidèle aux valeurs de notre famille politique.

Ma motivation a été renforcée lors du référendum pour la constitution européenne et le CPE. C’est à la même époque que j’ai décidé de pousser mon engagement politique plus loin en rejoignant l’UMP. Mes diverses actions politiques et mon soutien au Chef de l’Etat m’ont permis ainsi de devenir Conseiller National des Jeunes Populaires et membre du Comité de la 3e circonscription de Paris lors du précédent mandat (2008-2010).

Je me permets donc de faire appel à votre confiance, pour vous représenter au Conseil National de notre mouvement. Si vous m’accordez votre confiance je saurai mettre toute mon énergie à votre service et à vous représenter au conseil national.

Romain BONGIBAULT , 26 ans – Paris VIIe

26 ans et le combat

A la demande d’Antoine de Jerphanion, j’ai accepté de tenir une chronique sur son blog ! 

Je vous invite à consulter régulièrement ce blog dont je vous aies déjà fait la promotion précédemment !

Voici la 1ere de mes chroniques que vous pourrez retrouver en exclusivité sur le blog d’Antoine.

Bonne lecture!

@romainbgb 

26 ans et le combat

Une année supplémentaire… toujours ce retour en arrière sur ce que j’ai fait… toujours le ventre serré quand je pense à ce que j’ai dû prouver… 26 ans que je me bats et que je défends mon statut d’électron libre !

Un quart de siècle vient de s’achever en moi, pourtant rien ne me semble plus comme avant en ce mois de juillet 2010. Est-ce par superstition? Je ne crois pas. Est-ce par timidité ou envie de changement? Je ne pense pas non plus. Ce qui est sur en tout les cas, le temps avance et le Monde n’en finit plus de tourner. En France comme ailleurs. Je dois dire c’est ce qui m’a toujours fait rire depuis ma plus tendre enfance. C’est la réflexion que je me suis toujours faite.

Mais 26 ans plus tard je me rend compte que tout reste à sa place, comme un immuable plan de classe lorsque l’on était au collège. Le changement en avant était sur toutes les lèvres et paraissait comme quelque chose d’inéluctable. Comme un passage obligé vers lequel l’on ne pouvait que passer. Ce statut d’électron libre que j’ai toujours désiré avoir vis-à-vis des autres n’a guère été simple à obtenir mais pas après pas j’ai réussi !

Ces 26 ans qui me sont tombé dessus samedi dernier me font pensé a autant d’années de luttes et de combats politiques que la France ait pu connaître depuis 1984 et les années Mitterrand. Pour cela, comme on a pu le constater, 2010 ne reste guère à la traine entre les diverses révélations « Clearstream » , « l’Oreal / Bettencourt / Banier », et j’en passe … Ce devoir sacré d’information que possède les journalistes en ce sens ne se galvaude plus. La moindre péripétie ou moment de gloire est très vite scruté par les journalistes pour nous qu’elles nous soient connues dans nos divers Canards le lendemain.

Ce qui me ramène à une certaine réflexion que je me suis faite en lisant divers articles sur des blogs de commentaires politiques. La question de la mobilité sociale, telle qu’elle est définie par Alexis de Tocqueville, peut-elle être toujours d’actualité en ce deuxième millénaire? Quand on y songe vraiment, il me semble que l’école, le collège, le lycée public ne soient plus du tout source de mobilité sociale telle qu’on l’entendait au XVIIIe.

« La Démocratie en Amérique » existe-elle encore? Là aussi je pense que Tocqueville ne se reconnaitrait plus dans son ouvrage, tant l’équité n’existe plus et l’égalité devenu un vieux rêve. Certes, en France, nous avons ces trois mots gravés sur les frontons de nos mairies : « Egalité, Liberté, Fraternité » ! Mais n’est-ce pas plutôt devenu une utopie? Quand on regarde autour de nous très vite les classes dirigeantes créer le faussé avec leurs peuples. La classe moyenne se retrouve isolée, a devoir se lever tôt le matin, et à compter les fins de mois en ne pouvant réclamer aucune aide étant trop riches pour les percevoir.

C’est là que je me pose la question de savoir si j’avais écouté mes professeurs, mes détracteurs, mes amis, comme mes ennemis, serai-je la personne que je suis devant vous? Je ne sais pas mais en même temps je ne pense pas que ce serait le cas. C’est pourquoi je pense que la nécessité que l’on a de devoir se remettre en question permanente n’est pas si mauvaise que ça. Cette chronique le démontre pour moi : ce bilan annuel suite à mon anniversaire est une aide précieuse.

La place de l’amitié pour moi est quelque chose qui doit permettre de pouvoir poursuivre le but que l’on c’est fixé dans la vie. Ce chemin on ne peut guère le construire tout seul telle un colosse qui ferait tout tout seul. Le soutien, l’écoute, l’estime et l’entente que nous apporte l’amitié en ce sens est primordiale! On le remarque une fois de plus dans les affaires politiques de ces dernières décennies. Pouvoir, politiques, et amitiés sont souvent liés.

Le cas nous est encore apparu lors de la dernière affaire en date : « l’Oreal / Bettencourt / Bannier ». Ce que le tout Paris sait depuis des années serait enfin révélé au grand jour : l’amitié entre André Bettencourt et François-Marie Bannier, qui a conduit Lilianne Bettencourt a devoir l’accepté. Ce qui aurait poussé la fille unique du couple, Françoise Bettencourt-Meyer, a amener sa mère devant les tribunaux pour être sur de ne pas voir la fortune dilapidé dans les mains d’un seul homme?

Une amitié honnête et sincère c’est toujours ce que j’ai voulu offrir aux autres et que je continue malgré parfois certains obstacles a véhiculé tout autour de moi. Je ne suis surement pas « le meilleur d’entre tous » comme se plaisait à dire Jacques Chirac au sujet d’Alain Juppé. Mais je pense faire ma part du contrat quand je peux la faire. Mais je dois dire que parfois l’amitié n’est guère facile a apprivoiser. Reste toujours une inconnue face à cela : l’attitude de l’autre à votre égard. Cela n’est pas toujours simple a aborder et je dois avouer que plusieurs fois la désillusion a très vite fait sa place au fond de ma caverne de Gros Nounours.

La liberté tant chérie par nos peuples durant les siècles passés, ne se serait-elle pas envolé vers d’autres cieux? La place n’est plus la même, face à cela l’on se retrouve vite catalogué dans des cases avec des numéros dans le dos. C’est cette liberté là que je cherche a obtenir pour la suite, que mon statut d’électron libre n’en soit pas anéanti. C’est sur ce principe que je me suis fait ma carapace afin de pouvoir mener à bien la mission que je m’étai fixé.

Une petite drôle de vie

Au fond de soi quand on repense à tout ce qui peut arriver dans une vie et ce qui nous est déjà arriver depuis le début de notre existence, une certaine réflexion s’impose. D’autant plus lorsqu’il s’agit de fait qui ont créer la polémique et de tout ce déferlement médiatique que l’on a pu avoir durant cette décennie 2000! Ceci montrant, bien malheureusement, le piètre niveau dans lequel se trouve notre chère Patrie!

Les médias français nous l’ont prouvé une fois de plus, avec à titre d’exemple qui me vient en tête, TF1 et sa magnifique ferme africaine et ces seize inconnus d’un soir! La France des Lumières, des Droits de l’Homme, de la connaissance et du savoir qui se retrouve réduite à ce néant! Comment un pays ayant connu une activité intellectuelle et culturelle si intense en soit réduit à ce genre de débat de bas-étage digne d’un sac poubelle!

La petite drôle de vie que l’on mène en 2010, nous amène à côtoyer intelligence, culture, jeunesse, liberté mais en même temps dépravation et ignorance généralisée! C’est exactement sur ce thème que je voudrais que mon article de ce soir puisse en un certain sens vous alerter cher ami lecteur.

Depuis maintenant un mois je travaille dans un organisme en relation avec le Pôle Emploi. Cette institution recevant des subventions publiques sert en quelque sorte de relais au Pôle Emploi pour les jeunes de 16 à 25 ans ayant une certaine rupture avec la société (ou pas forcément, puisqu’il arrive de croiser des jeunes ayant un BAC + 5). Je dois avouer qu’au départ, comme vous pouvez l’imaginer, l’idée de devoir côtoyer ces jeunes en difficulté après m’être occuper des centres de vaccination contre la Grippe H1N1 ne m’enchantait guère. Ou plutôt pour être plus honnête avec moi-même, je ne m’imaginai point un jour être derrière un Bureau d’accueil de ce type d’administration. Mais après tout c’est avec bon pied, bon œil que je prenais avec courage ma décision d’affronter cette nouvelle expérience qui s’offrait à moi et pouvoir en profiter pour mon bagage personnel.

Avec le peu de recul que je peux prendre de cette expérience, je dois avouer que tout est mis en œuvre pour un certain renouveau auprès de nos chers jeunes padawans! Il est vrai que le contexte actuel n’aide en rien la jeunesse de notre pays a pouvoir se relever et trouver un travail. Mais je dois tirer mon coup de chapeau à tout ces conseillers dynamiques des organismes de recherches d’emplois à travers la France, qui se démènent chaque jour pour leurs jeunes.

Mais c’est là-dessus que je voudrais insister dans ma note, sur la différence de culturelle et générationnelle qui oppose ces deux parties. L’une héritière de la Culture l’autre héritière de la génération désenchantée! Voilà le triste sort de notre chère France! Réduite en lambeau par une troupe de soit-disant « bien-pensant » gauchisant des beaux quartiers parisiens qui au final ont réduit en miette le passé culturel. D’où, très vite, un certain malaise de société se fait sentir, et une tension peut très vite monter; voire dégénérer!

Ce qui m’interpelle est de savoir si au fond la génération sacrifiée de 1968, ne ferait-elle pas son « come back » avec la « new generation » de 2010? ce défis permanent face à l’ordre, serait il pas une démonstration de force face au pouvoir en place, comme ce fut le cas dans la France du Général De Gaulle?

Avec les élections régionales que la France va connaître à la fin de la semaine je voudrai que cette jeunesse en rébellion puisse comprendre la souffrance que peut être celle des ainés à leur égard. Mais à ce titre il faudrait que le conflit inter-générationnelle puisse un jour être remit à plat afin qu’un apaisement de situation se fasse sentir.

Un simple conseil: VOTEZ! Bleu, Blanc, Rouge, peu-importe! Mais VOTEZ!

La France Change;

Ma Région aussi !

Le 14 et 21 Mars!

@Romainbgb

Deux ans déjà !

 » Tout passe, tout lasse, tout casse  » : c’est à peu près ce qui reste de ces deux années de blog maintenue à jour par mes soins. Je ne pensais pas tenir aussi longtemps et je dois vous avouer que l’arrivée de ce millième article est pour moi une grande surprise ! Rien ne prédestinait ce blog à tenir aussi longtemps et je vous remercie lecteurs assidues que vous êtes de le faire vivre depuis décembre 2007.

Tant de chose ont évolué depuis la création de ce blog et tant de chose dans ma vie se sont produite et ont fait de moi quelqu’un d’infréquentable.

Je voudrais avoir tout d’abord une pensée pour un ami cher qui nous a quitté il y a un an et sans qui probablement ce blog n’aurait jamais vu le jour. Donc je pense fort à toi et de là où tu es j’espère que tu es fier de ce que ce blog est devenu.

Tant de souvenir me reviennent alors en mémoire avec tant de combat et de bataille politique qui refont surface ! Mais je dois dire j’aurais préféré donné le privilège à quelqu’un d’autre d’écrire ce millième article ; mais les aléas de la vie en ont fait autrement. C’est donc à moi que revient la lourde tâche de vous instruire un petit peu avec cette note.

L’amitié est quelque chose pour moi d’important, ceux qui me connaissent bien le savent, je voudrais commencer cette note en remerciant par un message personnel Messieurs TB, SA, AJ, GJ et RF (en espérant qu’ils se reconnaissent).

En outre la disparition de Monsieur Claude Lévi-Strauss (1908-2009) grand Immortel parmi les mortels ne peut nous laisser sans voix. C’est pourquoi je voudrais avoir un moment de pensée pour lui lors de l’écriture de cette note. Les tropiques resteront tristes, l’apport que nous a donné M. Lévi-Strauss dans l’anthropologie et la connaissance des peuples primitifs restera pour moi marqué à vie. « Tristes tropiques » restera l’œuvre majeure qui a composée l’écriture de cet Immortel.

En ce qui concerne la vie politique de ces derniers jours, on peut dire que notre cher Président Jacques Chirac tient le haut de l’affiche. Ce qui pour moi n’est guère pour me déplaire car je dois avouer mon côté « chiraquien » dans la mouvance politique du Mouvement Populaire actuel. La sortie de la première partie des « Mémoires » de Jacques Chirac aujourd’hui nous redonne un petit aperçut de la vie politique française avec son entrée dans la vie politique française dans les années 1960. En outre, le fait que le Parquet de Paris ne fasse pas appel de la décision, en ce qui concerne l’affaire des « emplois présumés fictifs de la Ville de Paris », renouvelle ma confiance envers l’ancien Chef d’Etat.

Je me permets de revenir un instant sur la question du devoir de silence et avec cela la position de Madame Rama Yade au sein du Gouvernement de Monsieur François Fillon. Je ne suis personne pour critiquer ou émettre de jugement attife sur telle ou telle personne mais je voudrais faire remarquer que lorsque l’on accepte la charge d’être membre d’un Gouvernement, il est de bon ton de rester dans la ligne de conduite fixer par ce dernier. Mais je trouve tout aussi intolérable la prise de position de Madame Nadine Morano, sur la grande chaine cryptée, concernant sa collègue Secrétaire d’Etat aux Sports. En revanche je dois applaudir la prise de position du Premier Ministre M. Fillon lors des Questions au Gouvernement à l’Assemblée Nationale mardi dernier.

Autre fait d’actualité : le Traité de Lisbonne. Le Conseil Européen des vingt-sept Chef d’Etat et de Gouvernement de l’Union Européenne à Bruxelles de la semaine dernière semblait partir sur un mauvais pied. Mais la nouvelle donnée par la Cour constitutionnelle tchèque mardi nous a prouvé une fois de plus la volonté d’avancement pour l’Europe. La signature du Président Klauss du Traité de Lisbonne relance la dynamique européenne. Ceci permettant la réunion des vingt-sept le 01 décembre prochain pour ENFIN mettre un nom et un visage à l’Union Européenne.

Cher lecteur, te voilà donc reparti pour de nouvelles aventures au travers de ce blog en espérant que les deux années passées sur ce blog ne t’ont pas déçu ! Sachez que toutes remarques et commentaires restent comme d’habitude les bienvenues.

Merci à Thomas, Stéphane, Antoine, Gautier, Romain, Pharaon et tous les autres de votre soutien et amitié.

Permettez-moi de finir avec une touche de chanson française avec quelques mots qui me touche particulièrement en ce moment.

« Et maintenant que vais-je faire ? De tout ce temps que sera ma vie ? De tous ces gens qui m’indiffèrent. Maintenant que tu es partie. Toutes ces nuits, pourquoi pour qui ? Et ce matin qui revient pour rien. Ce cœur qui bat, pour qui, pourquoi ? Qui bat trop fort, trop fort… »

{Gilbert Bécaud}

Et si on se donnait rendez-vous dans deux ans ? …

@romainbgb – 09/12/2009

collecte nationale de la Banque Alimentaire

Vendredi 27 novembre et samedi 28 novembre 2009 ont eu lieu les journées de collecte nationale de la Banque Alimentaire en faveur des plus nécessiteux. À l’appel de Madame Florence Gerbal, Adjointe au Maire du VIIème de Paris – en charge des Associations; et de mon ami Thibault de Maäyer, je me suis rendu dans divers supermarchés pour aider à cette collecte.

Vendredi après-midi, je me suis rendu dans la chaine de magasin Ed, pour pouvoir apporter un peu d’entraide comme je le pouvais à la Banque Alimentaire. Avec Thibault de Maäyer et Camille Masson nous avons pu participer à la collecte et avoir un échange je dois dire positif avec les personnes venant acheter dans le magasin. Je dois avouer que donner de son temps et participer à une cause comme celle de la Banque Alimentaire ne vous laisse pas de marbre.

Samedi j’ai donné toute ma journée pour participer à la collecte, toujours sous l’égide de Thibault de Maäyer. Ceci entre le Casino du Boulevard de Vaugirard (75014) et le Franprix de la rue Saint Dominique (75007). Dans l’après-midi, nous avons été rejoins par Antoine de Jerphanion, Responsable des Jeunes UMP de Boulogne-Billancourt (92) et Vice-Président de l’UMP Lycées.

Le dernier week-end de novembre a lieu tout les ans cette collecte nationale en faveur de la Banque Alimentaire, où je dois dire que se dire qu’au XXIe siècle des gens sont encore dans le besoin m’attriste toujours un peu. L’espoir que la faim dans le monde touche à sa fin reste pour moi un idéal qui risque de durer encore un peu. Rendez-vous est prit pour la prochaine collecte nationale de novembre prochain.

@RomainBGB – 29/11/2009

And the winner is . . .

Poser la question de ce que peut être l’Europe c’est donc se poser la question de l’identité européenne. Pour cela il s’agit d’entrevoir une réflexion largement inspiré par l’histoire et la philosophie pour répondre à ces questions contemporaines. Quelles sont les raisons historiques et culturelles qui peuvent conduire ces Etats à travailler sur des politiques communes. Savoir ce qui justifie ce vouloir vivre ensemble ?

Ne serait-ce pas une manière de progresser sur le questionnement de pourquoi les Etats en viennent à travailler ensemble ? Pour ma part le mot clef ici c’est identité. Qu’est-ce que c’est l’identité ? Ce qui me ramène à mon cours de « Grands problèmes de l’Europe contemporaine » dispensé par le Professeur Laquièze, à la Sorbonne Nouvelle – Paris III, nous donnant en exergue la notion de l’identité. Ceci à l’aide de l’ouvrage Vocabulaire philosophique de Lalande (P.U.F. collection Quadrige) :

*identité c’est le caractère de ce qui est unique quoique il est perçut, conçut, nommer de plusieurs manière différente. Ex : Lac Léman c’est la même chose que le Lac de Genève.

** identité c’est le caractère d’un individu ou d’un être assimilable à cet égard à un individu, quand on dit qu’il est le même à différents moment de son existence malgré les changements considérables qui peuvent y être apparus. Différence de traits, de caractères.

Identité ça rejoint l’idée de constante, de traits communs, de caractère commun alors que ça peut être à un être, il y a une identité de l’être en question. Peut être une nation, une civilisation, une société humaine. Ces traits communs impliquent qu’il faut aussi comprendre cette idée de traits communs spécifiques à d’autres. Différents d’autres identités au sens pluriel, il y a d’autres identités non européennes. On notera que le terme identité on le retrouve dans les traités européens fréquemment ; beaucoup plus que celui de souveraineté (idée de pouvoir de l’Etat) qui est un terme bannis.

Le Président Sarkozy a donc tout compris en menant une partie de sa campagne présidentielle et de créer son Ministère de l’immigration et de l’identité nationale. Le débat lancé par Monsieur Besson le prouve une fois de plus : en 2009 la question de l’identité nationale est toujours à la une.

Il aura fallu du temps, je vous l’accorde, mais l’Union Européenne après pertes et fracas y est parvenu. Mais à quoi me demanderiez-vous ? Et bien à répondre à la fameuse question posée en 1970 par le Président Kissinger : «l’Europe ? Quel numéro de téléphone ? » ! En effet ce sera ce soir au cours d’un diner réunissant les vingt-sept chefs d’Etats que sera désigné le «duo» exécutif dessiné par le nouveau traité de Lisbonne. Le dîner qui réunit ce soir les dirigeants des Vingt-Sept risque de se prolonger tard, faute d’accord préalable.

Source : lefigaro.fr

C’est le sommet où l’Europe, enfin libérée des lourdeurs institutionnelles, va se choisir un visage, une voix et insuffler un peu d’air frais. D’abord la place du président du Conseil, véritable visage de l’Union Européenne. Mais peu à peu son autorité semble se rétrécir peu à peu que se rapproche l’heure du choix. L’Europe a toujours rêvée d’un vrai patron, les Vingt-Sept n’en restent pas moins soucieux de leur prérogatives. Le choix d’un secrétaire général semble se profiler dans un modèle onusien ; de facto le traité le privant du droit de vote. à ce titre nous avons six concurrents officiels déclarés : Mesdames Lipponen et Robinson ainsi que Messieurs Blair ; Junker ; Balkenende et Verhofstadt. Sur ce sujet là, Tony Blair s’est laissé distancer, malgré les vivats de Londres.

La désignation du haut représentant, voix de l’Europe et de sa politique étrangère, est le second dilemme de la soirée. David Miliband, chef du Foreign Office, apparaissait comme le favori des Européens pour s’imposer comme l’alter ego d’Hillary Clinton, Sergueï Lavrov ou Wang Qishan. Mais c’était cette fois contre l’avis de Gordon Brown. Le rêve de l’Union Européenne d’avoir un grand patron est là, les Vingt Sept n’en restent pas moins soucieux de leurs prérogatives.

Un favori par défaut pour le poste de président, plusieurs challengers encore crédibles, l’incertitude autour du chef de la diplomatie… C’est la nervosité qui régnait à Bruxelles. Jusqu’à la dernière minute, les camps se sont comptés, avec d’un côté une réunion des socialistes à l’ambassade d’Autriche autour de Zapatero, Brown et Papandréou notamment, et de l’autre un entretien Merkel-Sarkozy-Rasmussen, officiellement pour parler du climat.

Le premier ministre belge, Herman von Rompuy, a tenu la corde jusqu’au bout. Homme du consensus, malgré son manque de visibilité sur la scène internationale, il a joué son grand atout : ne mécontenter personne. Membre d’un pays fondateur, catholique, intellectuel, modéré, atlantiste, il renvoie le souvenir perdu d’une coexistence paisible à une Belgique en plein déchirement. Le contraire de Tony Blair en quelque sorte. Dans ce cas il est vrai que le néerlandais Jan Peter Balkenende et le luxembourgeois Jean-Claude Juncker pouvaient se prévaloir de leur appartenance précieuse au Benelux. À son arrivée à Bruxelles, Angela Merkel a insisté sur la nécessité d’un «large consensus». Bruxelles, 21h08, la dépêche AFP tombe : Von Rompuy nommé Président de l’Union Européenne.

En ce qui concerne le choix du Haut représentant la question était tout aussi importante, telle que le prévoit le Traité de Lisbonne. En ce sens, pendant des semaines les marchandages sont allés bon train et lourds d’arrière-pensées. La tâche n’étant pas simple, du fait que si Paris et Berlin imposerait leur candidat pour la Présidence, Londres en ferait de même pour la candidature au poste de Haut représentant avec la Commissaire européenne britannique déléguée au Commerce, Catherine Ashton. Ce qui permet à cette dernière de devenir à 21h12, par dépêche AFP, la première Haut représentant de l’Union Européenne.

Maintenant que le triumvirat de Lisbonne (Président de l’UE ; Président du Conseil de l’Union Européenne ; Haut représentant) est réglé ce n’est pas pour autant que la complexité s’arrête pour autant.  Là aussi, les négociations ont été serrées, d’autant plus que le Haut représentant sera le bras droit de José Manuel Barroso et qu’il devra être adoubé par le Parlement. Une fois dotée de ce duo, l’Union va devoir apprendre à fonctionner avec une direction à quatre têtes : le président du Conseil, le haut représentant, le président de la Commission et la présidence tournante. Pas sûr que cela suffise à faire contrepoids à l’Europe des États, qui a une nouvelle fois mené le jeu.

@Romainbgb – 19/11/2009

20 ans … et l’identité nationale dans tout ça ?

Avec les événements de ces derniers jours, je me permets de revenir vers vous chers lecteurs assidus de mon blog pour donner mon avis sur deux choses qui me tienne à cœur. La place de la jeunesse dans la société actuelle et l’identité nationale, seront les deux thèmes abordés ici. Ceci évoque bien sur dans un premier temps l’élan de liberté qu’a pu susciter il y a vingt ans la chute du Mur de Berlin, et dans un deuxième temps la notion de qu’est-ce qu’être français en 2009 qui est à étudier.

Me souvenir ce que je faisais le 09 novembre 1989 serait mentir vue que j’étais âgé seulement de cinq ans. Mais une chose est sur c’est que c’est un moment fort pour l’unité allemande, pour l’Europe, et pour le monde entier ce qui c’est produit pendant cette nuit de novembre. Le Mur de la honte construit en une nuit 27 années plus tôt, qui sépara en deux le pays tout entier et laissa des traces indélébiles dans le pays. La RFA et la RDA marquant à jamais la séparation Est – Ouest et la marque de la Guerre Froide sur l’Europe. C’est pourquoi il ne faut guère oublier les murs encore existant aujourd’hui comme celui qui il y a entre les Territoires Palestiniens et Israël ou entre le Mexique et les Etats-Unis d’Amérique.

La polémique a enflée des suites d’une photographie prise à Berlin en novembre 1989 où l’on voit notre Président Sarkozy présent sur le Mur de Berlin. Pour ma part le débat n’a pas lieu d’être de savoir si la photographie a été prise le 09 ; le 10 ou même le 11 novembre au soir. L’importance pour moi restera l’impact fort de cette image et la présence de la droite française et du RPR de l’époque à Berlin. Messieurs Sarkozy, Fillon, Juppé y étaient ! Mais où étaient Messieurs Mitterrand, Dumas, et tout le Parti Socialiste au pouvoir à l’époque ?

C’est pourquoi je voudrais également revenir un instant sur une autre date symbolique pour l’Europe et notamment pour la relation franco – allemande : le 11 novembre. Au sorti de la Première Guerre Mondiale, cette date de l’armistice franco-allemand, marque l’unité des nations et l’amitié des peuples après les horreurs de la guerre. La réconciliation entre De Gaulle et Adenauer, puis Mitterrand-Kohl, Chirac-Schröder, est désormais assurée avec le couple Sarkozy-Merkel. D’où l’émouvante cérémonie qui c’est tenu mercredi dernier à l’Arc de Triomphe en présence du Président de la République Française et de la Chancelière Allemande.

En ce qui concerne l’identité nationale je voudrais apporter mon éclairage au débat du fait des diverses expériences que j’ai pu vivre au cours de ce quart de siècle. D’abord par mon héritage du fait que mon père est français, ma mère italienne et que je sois né en Suisse. Vous me direz rien d’anormal jusque là ; je ne suis pas le premier et dans un monde globalisé comme celui d’aujourd’hui rien d’anormal à cela. Mais en faite tout ce complique lorsque vous vous présenter à l’antenne de police de votre Mairie pour faire votre carte nationale d’identité ! C’est pour cela que je me pose la question de l’identité nationale au fond de moi afin de savoir ce qu’elle peut être.

Pour cela doit-on se baser sur la question de la culture, de la religion, des apports des différents peuples qui nous ont forgés ? Ou devons-nous plutôt commencer le débat sur le fait de savoir ce que c’est que d’être français aujourd’hui en France en 2009 ?

C’est donc ce débat que j’aimerais avoir avec toi cher lecteur assidu ! Je suis ouvert à tout commentaire sur cette article ; dans la limite bien sur des propos tenues qui doivent rester correct sous peine d’être effacé. Alors à vos stylos !

@romainbgb – 15/11/2009