petite pensée nocturne

L’envie que l’on peut avoir face à l’écriture comporte quelque chose d’assez étrange je dois dire. Quand on y réfléchit mieux le pouvoir de l’écriture, de la réflexion n’est point donné à tout le monde. C’est pour cela qu’il est donc important de pouvoir savoir si oui ou non l’on peut ou l’on est apte à cela. La réflexion est intense et peut parfois prendre des allures auxquelles on ne songe même pas.

Mais ce n’est pas pour autant que l’on doit tout abandonner. Bien au contraire, c’est là-dessus qu’il faut compter. Le rêve fondé sur l’espoir est quelque chose que nous possédons tous au fond de nous. S’il on arrive à pouvoir disserter sur ce sujet précis il convient d’être juste et d’essayer. Qui ne tente rien n’a rien.

Ce qui me ramène à une vieille réflexion que me fait souvent mon grand-père paternel : « quand on veut, on peut ! ». Je dois lui reconnaître la part de vérité qui sort de cette maxime. Il faut pouvoir croire à ses rêves, donner libre court à ses envies, tout simplement profiter de la vie.

La réflexion qui s’impose à moi est celle d’établir un travail libérateur autour de moi-même, de ma famille, mes amis. Famille on t’aime, certes, mais il peut arriver que cela amène à des situations disproportionnées. C’est justement cela qu’il faut éviter afin de rendre juste et cohérant la perspective du travail que l’on veut mener à terme.

Le point de réflexion commence sur ce vaste sujet qu’est l’écriture et le mode à travers lequel on peut arriver à développer ses sentiments face à tout ce que l’on peut ressentir au fond de soi. On ne peut guère savoir quoi penser vis-à-vis de l’autre, qui nous observe lui à son tour. Quel comportement, quelle attitude doit-on adopter ?

L’expérience que j’ai vécu à l’Ambassade de France à Rome en cela m’a été d’une grande aide et secours. Je dois avouer qu’être en contact avec les gens au sein du monde du travail permet d’ouvrir les yeux sur certaines choses. On réalise combien l’éducation de nos parents est très importante. Mais également un sentiment de grande joie, témoin de l’ambiance, nous envahie très vite. Ceci permet de relativiser sur beaucoup de chose. En effet la vie telle que l’on peut la voire n’est pas forcément en bonne corrélation avec celle telle qu’on la vit. Les sentiments ressentis face au monde qui nous entoure font face à l’inquiétude que les personnes ont. Il n’est guère simple de savoir ce qu’une personne ressent vraiment face à telle ou telle situation.

L’imaginaire peut être le côté sauveur de la situation diront certain. Mais contre ce sentiment quelle attitude adoptée ? La question n’est pas simple ; la réponse n’est point unique mais multiple. Le fait est que nous sommes tous unique, dans notre identité, personnalité, ADN. Savoir sur quel pied danser consiste aussi (d’une certaine) une façon de pouvoir entrevoir les choses.

Un jour il faudra bien se résoudre à admettre les choses telles qu’elles le sont. C’est sur ce dur labeur qu’au fond de nous chaque être humain doit mettre en place un système probant de remise en question sur soi.

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@romainbgb

Tu te laisse aller!

La vie nous apprend à prendre en considération les évènements qui se succèdent tout le long de notre existence. Ceci dans le but de pouvoir établir une certaine trame des évolutions de la vie et réussir à s’en sortir. Une fois ceci prit en considération il convient alors de le mettre en action et pouvoir comprendre le sens que la vie nous donne. L’avancement doit donc se mettre en place afin de pouvoir entreprendre un certain axe de la vie et de la connaissance. C’est ce long chemin qui doit se mettre en place pour que l’on soit conscient de l’existence qui se met en place afin de pouvoir entreprendre le chemin qu’on a choisit !

Le tout est de savoir quel point de vue l’on veut adopter pour pouvoir continuer le chemin de la vie et de faire en sorte que la vie prenne un sens. C’est pour cela que la notion de la vie détient un certain pouvoir magique dans nos sociétés contemporaines en tant qu’élément moteur de la dite-société.

@romainbgb.

« C’est drôle, ce que t’es drôle à regarder
T’es là t’attends tu fais la tête
Et moi j’ai envie de rigoler
C’est l’alcool qui monte en ma tête
Tout l’alcool que j’ai pris ce soir
Afin de puiser le courage
De t’avouer que j’en ai mare
De toi et de tes commérages
De ton corps qui me laisse sage
Et qui m’enlève tout espoir

J’en ai assez faut bien que je te le dise
Tu m’exaspères tu me tyrannises
Je subis ton sale caractère
Sans oser dire que t’exagères
Oui t’exagères tu le sais maintenant
Parfois je voudrais t’étrangler
Dieu ce que t’as changé en 5 ans
Tu te laisses aller, tu te laisses aller

Tu es belle à regarder
Tes bas tombant sur tes chaussures
Et ton vieux peignoir mal fermé
Et tes bigoudis quelle allure
Je me demande chaque jour
Comment as-tu fais pour me plaire
Comment ai-je pu te faire l’amour
Et t’aliéner ma vie entière
Comme ça tu ressembles à ta mère
Car rien pour inspirer l’amour

Devant mes amis quelle catastrophe
Tu me contredis, tu m’apostrophes
Avec ton venin et ta hargne
Tu ferais battre des montagnes
Ah j’ai décroché le gros lot
Le jour où je t’ai rencontré
Si tu te taisais, ce serait trop beau non!
Tu te laisses aller, tu te laisses aller

Tu es une brute et un tyran
Tu n’as pas de cœur et pas d’âme et pourtant
Pourtant, je pense bien souvent que
Malgré tout tu es ma femme
Si tu voulais faire un effort
Tout pourrait reprendre sa place
Pour maigrir, fais un peu de sport
Arrange toi devant ta glace
Accroche un sourire à ta face
Maquille ton cœur et ton corps

Au lieu de penser que je te déteste
De me fuir comme la peste
Essaie de te montrer gentille
Redeviens la petite fille
Qui m’a donné tant de bonheur
Et parfois comme par le passé
J’aimerais que tout contre mon cœur
Tu te laisses aller, tu te laisser aller »

Charles AZNAVOUR

Une journée…

gj

Encore une journée de plus qui avance et qui semble interminable dans sa durée et son temps d’action. Plus aucune envie de revivre ça et de se sentir oppressé comme je le suis depuis maintenant presque une semaine. Tout ça pour des sentiments de quelqu’un qui au fond ne me veux pas. Il faut oublier, ne pas avoir peur de le faire peu être.

Cette journée commence à me peser et je n’arrive plus à me contrôler ;  pourtant il le faudrait bien au vue que sans continuité tout chose disparaît !

Pour cela que la vie permet de faire des choix, qui parfois peuvent permettre d’analyser mieux une solution avant de se lancer dans le vide. Toutes les décisions que l’ont a à prendre ne sont pas simple ; pour cela que la vie peut nous jouer des tours. Ceci aussi bien de manière positive comme négative. Ce qui peut se produire en relation direct avec les sentiments que l’on éprouve pour une personne, une ville, un moment …

Au fond de soi on a tous une image de vainqueur dans sa tête qui fait que l’on pense être le roi de la piste de dance. Mais quand on repense à tout ça, nous sommes tous égaux devant la loi éternelle du Tout puissant. Pour cela je dois remercier la vie que le Seigneur m’est donné la foi en lui et en son fils. Mais il est vraie que ce n’est point chose facile a conserver et que le chemin de la croyance chrétienne est long et semé d’embuche tout le long de notre présence sur Terre.

Ceux qui pensent être invincible, sur d’eux, et tout autre égo surdimensionné à mon sens ne font pas le poids. Il y a forcément quelque chose qui cloche ; qui fait qu’une blessure passée soit prise en compte comme vengeance sur la vie. Prendre en considération cela permet d’entrevoir mieux la société dans laquelle on évolue chaque jour et contre laquelle parfois l’on est quelque peu hésitant.

Le pouvoir de certaine personne peut être fort vis-à-vis d’autrui mais au fond quand on y réfléchit ce n’est rien d’autre que de l’inquiétude qui s’y exprime. La vie déroule son lot de souffrance, d’amertume, à travers lesquelles l’on doit se construire ; ceci donnant en chacun de nous notre personnalité.

La soif de l’avenir, la croyance que l’on peut avoir, mais surtout l’espoir que l’on a, doivent permettre de nous aider à avancer. Pour ma part la croyance et la religion peuvent être un certain moteur pour avancer dans la vie. La vie n’est qu’espoir et souffrance entremêlés d’un peu de bonheur. Alors c’est pour ça que l’on doit se battre et résister pour rester digne d’être ici, d’avoir sa place sur cette Terre !

Mais une fois cela pris en compte il faut quand même pouvoir mettre en action certaine chose afin de comprendre pourquoi sommes-nous arrivé ici.

Une chose est arrivé à prendre le pouvoir sur la vie, une chose est tout autre quand on veut lutter contre soi et réussir sa vie contre ses propres démons. C’est là que la position de l’amitié prend forme et que se met en place amour impossible et autres péripéties ! Il faut pouvoir travailler là-dessus et se remettre à vivre pour pouvoir tenir bon.

Le temps des rires et des pleures a passé ; il est venu l’heure d’avancer et ne pas reculer cette fois-ci ! Allez de l’avant, ne pas reculer, se laisser porter par le souffle nouveau ! C’est comme ça qu’une rencontre, un instant, un regard, une émotion, peut tout changer pour le reste de la vie. Cette rencontre a provoqué en moi une étincelle qui sera présente à vie. Du coup entre toi et moi c’est toute une bourgeoisie des sensations qui est difficile à vivre et à cerner au fil du temps. Mais c’est vrai que je t’ai aimé sans faire d’histoires chargées de pourquoi, mais je gardais quand même espoir.

Mais malgré tout il faut oublier, avancer, et ne pas se complaindre dans cette démesure qu’est celle actuelle ! Ce n’est pas dit que la vie change en un instant mais si toi tu ne change pas rien ne changera pour sur ! C’est pour cela qu’il faut que tu bouges ! Que la vie qui s’offre à toi te donne envie d’aller de l’avant ! Que la jeunesse soit en toi et te porte loin … loin … que tu puisses devenir quelqu’un !

ROMINOU

Va, vit et devient ! Je te l’ai toujours dit et aujourd’hui ça prend un sens nouveau et encore plus symbolique ! Peut-être ais-je été l’un des rares à avoir cru en toi dès le départ, mais je sais que tu es quelqu’un de bien et que tu seras quelqu’un d’éminent dans ce pays.

L’amitié est un sentiment fort qui donne envie d’aller de l’avant et se donner à l’autre sans complexe. C’est toute cette histoire entre toi et moi que je veux ici faire état. Mais est-ce une bonne idée… Ça c’est une autre question à laquelle je n’ai point la réponse. La seule certitude que j’ai est que c’est en travaillant là-dessus qu’avec la vie l’on doit devoir aller de l’avant. Tout ce travail là avec lequel je lutte depuis quelque mois au fond m’empêche d’avancer et me fait stagner. C’est là tout le problème du moment sur lequel je dois me pencher pour arriver à une solution rapide.

Certes rien ne vaut la vie, ça je pense il faut que j’apprenne à le savoir et surtout à me le dire chaque matin au réveil.

@romainbgb – 10/07/2009

Pertes et fracas

Les aléas de la vie ministérielle et celle de la vie tout court font en sorte que l’on va et vient entre pertes et fracas. La notion même de départ et d’arrivé prend toute sa signification dans ce cas. Il faut pouvoir se reconstruire ; avoir une certaine force et capacité d’adaptation qui fait que l’avenir puisse nous être tout aussi positif que notre passé et notre présent. L’action gouvernementale en quelque sorte peut être mise en place de façon à ce que la vie reprenne le dessus.

La sensation de renouveau, de réconfort que l’on attend et qui vient pas ; la bourgeoisie des sentiments qui se met dès lors en place ne peut guère être compris par tous. Pour mettre en action ses connaissances et affirmer son potentiel il faut pouvoir être maître de soi et s’assurer d’une bonne entente avec autrui. Car c’est là que tout commence et que tout fini en un même instant ! L’entente et la rencontre avec l’autre : un moment magique qui peut vite tourner au désastre à l’instant même où l’on se l’attend le moins !

Les choix de la vie sont ainsi faits que l’on remarque vite la difficulté qui nous incombe lorsque l’on veut prendre une décision. Avancer et ne pas reculer ! Agir et ne pas rester là, ne pas fuir les événements et par-dessus tout ne pas se battre contre des moulins à vents. Les aléas de la vie doivent nous forger pour aller plus loin ; de ne pas douter et croire en soi ! Tout le doute que l’on peut avoir sur soi doit partir et prendre une nouvelle vision positive. Mais c’est tout ce travail d’action et de maintient de soi que je dois mettre en place moi-même si je veux prétendre un jour à devenir quelqu’un de bien.

Les sentiments c’est quelque chose qui n’est pas évident à vivre et qui une fois que ça nous tombe dessus on ne sait plus quoi faire. Rien de plus dur que les sentiments au fond car même si beaucoup de joie apparaît, le sentiment de tristesse peut nous surprendre très vite.

Mais malgré tout il faut oublier, avancer, et ne pas se complaindre dans cette démesure qu’est celle actuelle !

Ce n’est pas dit que la vie change en un instant mais si toi tu ne change pas rien ne changera pour sur ! C’est pour cela qu’il faut que tu bouges ! Que la vie qui s’offre à toi te donne envie d’aller de l’avant ! Que la jeunesse soit en toi et te porte loin … loin … que tu puisses devenir quelqu’un !  Va, vit et devient !

L’amitié est un sentiment fort qui donne envie d’aller de l’avant et se donner à l’autre sans complexe. C’est en travaillant là-dessus qu’avec la vie l’on doit devoir aller de l’avant.

@romainbgb 10/07/2009

Quelque part….

ROMINOU

Le gros nounours

Au fond de soi on a tous une image de vainqueur dans sa tête qui fait que l’on pense être le roi de la piste de dance. Mais  quand on repense à tout ça, nous sommes tous égaux devant la loi éternelle du Tout puissant. Pour cela je dois remercier la vie que le Seigneur m’est donné la foi en lui et en son fils. Mais il est vraie que ce n’est point chose facile a conserver et que le chemin de la croyance chrétienne est long et semé d’embuche tout le long de notre présence sur Terre.

Ceux qui pensent être invincible, sur d’eux, et tout autre égo surdimensionné à mon sens ne font pas le poids. Il y a forcément quelque chose qui cloche ; qui fait qu’une blessure passée soit prise en compte comme vengeance sur la vie. Prendre en considération cela permet d’entrevoir mieux la société dans laquelle on évolue chaque jour et contre laquelle parfois l’on est quelque peu hésitant.

Le pouvoir de certaine personne, peut sembler être fort mais au fond quand on y réfléchit ce n’est rien d’autre que de l’inquiétude. La vie déroule son lot de souffrance, d’amertume, à travers lesquelles l’on doit se construire ; ceci donnant en chacun de nous notre personnalité.

La soif de l’avenir, la croyance que l’on peut avoir, mais surtout l’espoir que l’on a, doivent permettre de nous aider a avancer. Pour ma part la croyance et la religion peuvent être un certain moteur pour avancer dans la vie. La vie n’est qu’espoir et souffrance entremêlés d’un peu de bonheur. Alors c’est pour ça que l’on doit se battre et résister pour rester digne d’être ici, d’avoir sa place sur cette Terre !

@romainbgb – 26 mars 09.

Réfléxion …

elephantrose

La position entre la vie et la mort a souvent posé des problèmes de conscience depuis la nuit des temps. Une fois de plus, le cas c’est reproduit en Italie, avec la question de l’euthanasie concernant la personne de Mademoiselle Eluana Englaro. Cette dernière est morte peu après 20 heures, lundi 9 février 2009.

Le cas de cette femme de 38 ans plongée dans un coma végétatif depuis dix-sept ans avait plongé l’Italie dans une crise politique. Sa mort a été annoncée par le ministre de la santé, Maurizio Sacconi, aux sénateurs réunis pour examiner un projet de loi destiné à empêcher l’arrêt de l’alimentation de la jeune femme, pourtant autorisé par la justice.

Au fond, la vie ne tient à rien: malheureusement, cette demoiselle aura passé la moitié de sa vie dans le coma sans avoir pu profiter pleinement de l’amour de ses proches. L’amour d’un parent pour son enfant, de l’amitié naissante entre deux personnes, de la vie, de ses joies, de ses peines, bref VIVRE !

Face à cela beaucoup de choses se remettent en place dans ma tête et je dois l’avouer, peut être aurais je été faible ces derniers mois … Faible vis-à-vis de moi, vis-à-vis des autres, vis-à-vis de l’amour du prochain pour moi. Au fond qu’est ce que la vie sinon de se battre contre soi même ?

Lutter pour que tout continue comme l’on peut. Il faut prendre sur soi pour avancer, prendre le taureau par les cornes, et lutter contre ses propres démons. La faiblesse des uns fait la force des autres. Ainsi les forts dominent les faibles, et ceci depuis la nuit des temps.

Apprendre à vivre avec soi, et savoir maîtriser ses peurs, ses crises d’angoisses, ses doutes, ses pleurs. La reconstruction de l’Homme n’est pas une mince affaire mais peut être un jour viendra où tout sera baigné d’amour et plus de questions se poseront.

Se connaître soi avant même de connaître les autres, avancer pour soi et faire ses propres choix indépendamment des autres. Vivre sa vie ! Tout ceci est le travail à accomplir durant le long chemin de l’humanité. Avec ses échecs et ses victoires. Avec ses joies et ses peines. Mais au fond la place du prochain dans notre vie n’est-elle pas aussi importante ?

Tenir bon et ne pas reculer, prendre sur soi, essayer de faire en sorte que l’on n’oublie pas, et attendre. L’attente de son prochain et savoir être là à son écoute sans le forcer ou le faire fuir loin de vous. Le sentiment d’abandon au final revient à mon oreille et c’est peut être celui là qui fait le plus peur ; mais surtout le plus mal ! Il faut le surmonter !

En somme tout cela pour arriver à la conclusion qu’au fond RIEN NE VAUT LA VIE !

@romainbgb

être révolutionnaire?

La place occupé par notre vie politique devient dense, intense, s’amplifie….

En ayant écouté notre Président Lancar fraichement élu et mis en place à Royan il y a deux semaines, je me dis que bien mal en faut il pour que la Révolution ne se fasse pas.

Au vue de la place actuelle de la Gauche qui s’applique a mener une reconquête des idées, cette dernière ferait mieux de revoir son programme et « mettre au frigidaire » certain concept, plutôt que de venir contre dire par des absurdités certaines réformes juste et nécessaire pour l’équilibre de la France.

Alors je crois que OUI nous sommes entrés dans une nouvelle aire de faire de la politique. Les jeunes devant les vieux derrière, sans vouloir faire de mauvais jeux de mots, je pense que la jeunesse qui bouge est là. Il faut que cela soit pris en considération par les Français et Françaises eux-mêmes. S’il on veut que les choses bougent et ne stagne pas alors la Révolution doit se faire!

L’idée révolutionnaire au fond vient de la Gauche je vous l’accorde mais s’il on réfléchit bien, lorsque l’on fait une révolution c’est pour montrer que l’on se bouge, que l’on fait évoluer les consciences et les mentalités. La stagnation n’a jamais été quelque chose de constructif, ni en politique, ni ailleurs!

C’est pourquoi je pense que nous devons être les jeunes révolutionnaires de demain! C’est à nous qu’appartient le pouvoir de décision pour demain, nous qui sommes en charge de l’avenir de nos parents comme de nos enfants! Donc pour ces raisons la révolution doit se faire, alors autant qu’elle se fasse sur le combat des réformes, des idées et des dialogues de fond avec l’opposition.

A nous de nous faire entendre au plus haut de la hiérarchie, que nous puissions pouvoir accéder a des fonctions méritantes et électorales comme n’importe quel adulte et que la barrière de la jeunesse au fond ne soit plus symbole d’inexpérience ou d’immaturité.
Sans vouloir paraphraser notre Président Lancar dans sa célèbre formule « 40 ans + tard : la jeunesse qui bouge a changé de camps! »; tout ceci est véridique!

La vraie révolution que nos ainés ont fait en 1968, la jeunesse de 2008 est elle aussi en train de la faire à son tour! A nous, jeunes populaires de montrer le chemin et l’exemple à suivre pour pouvoir établir le plan d’action de la Révolution en marche.
Alors le discours est simple, précis, concis : « La Révolution en 2008 c’est nous ! »

@romainbgb – 25 septembre 2008


Triste Compagne

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Ça ira mieux demain, du moins je l’espère, parce que c’est déjà ce que je me suis dit hier.

Nonchalamment les vagues de l’âme passe sur la terre comme l’eau coule dans la rivière,

Mais sommes-nous simple témoin ou acteur de ce processus,

Qui vaille que vaille-nous conduit à l’au-delà et aux croyances divines?

Le temps des changements est entré en action,

Le monde évolue, bouge, s’agite, cogite, explose en tout sens,

De l’Ossétie au Tibet, de Beijing à Washington, le monde croit,

La planète Terre selon certain aurait du souci à se faire.

Mais après tout ne sommes nous pas victime de notre réussite?

Ne sommes nous pas enfants de cette volonté dirigeante des leaders mondiaux sur les petits Etats?

Quand on y repense finalement la situation actuelle connue le même contexte de manière inversée il y a soixante ans.

Les grandes puissances alliées d’aujourd’hui n’étaient-elles pas les grands « ennemis » d’hier?

Moscou, Tbilissi, Beijing, Washington, Lhassa, Paris, Londres, Berlin …….

A cela doit-on comprendre l’exposition des matières premières par rapport aux relations des Etats entre eux?

Si on suit une certaine analyse de la situation l’effet de « coupure de robinet » en possession de nos amis de Moscou ne serait-il pas une certaine contrainte pour nos amis Ossètes et par conséquent nous – même européens de l’Ouest?

L’effet du choc pétrolier serait-il pas la même conséquence ou plutôt n’aurait-il pas le même effet entre pays exportateurs membres de l’OPEP et nous autres Occidentaux de Washington à Athènes?

Ça ira mieux demain, du moins je l’espère, parce que c’est déjà ce que je me suis dit hier.

La nébuleuse de l’Union Européenne, sous l’égide de la Présidence française du Conseil de l’Union, a donc cette tâche de mettre en place la politique pour les six prochains mois (les quatre mois restants) afin de trouver solutions et médiations.

C’est pourquoi en européen et europhyle convaincu je pense que la Présidence française au sein de l’Union Européenne soit un bien et un apport majeur à la suite des dossiers à venir.

ROMAIN BONGIBAULT

Trois consonnes et Trois voyelles

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la vie nous apprend a dire merci
pardonner c’est aimer
aimer c’est prendre conscience de la vie
la vie nous apprend a pardonner

vivre l’instant présent en appelant les choses par leur nom
telle est la version dans le dernier endroit ou l’on cause
afin que les mots rejoignent les noms
pour effectuer leurs nouvelles métamorphoses

ils sont venus ils sont tous là
pour voir l’arrivée de l’Ave Maria
dans une plage ensoleillée
coquillages et crustacés

Paris la Belle
Brégançon le Chiffon
Cargèse la Rebelle
Ainsi font font trois petit tour et puis s’en vont

quand on veut on peut
le tout s’est d’y croire
une fois que l’on a espoir
alors tout se meut

Vivre sa vie comme on le ressent, ne pas courir, être dans son temps, flâner, rêver, poursuivre son but en suivant son étoile et la clef de la réussite sera présente.

Trois consonnes et trois voyelles
vous l’aurez compris
de qui il s’agit
alors murmurez le à vos oreilles

Romain Bongibault

Pensée Personnelle

L’envie que l’on peut avoir face à l’écriture comporte quelque chose d’assez étrange je dois dire. Quand on y réfléchit mieux le pouvoir de l’écriture, de la réflexion, n’est point donné à tout le monde. C’est là qu’il convient de se poser la question de savoir si l’on est on capable et/ou apte à ça.

La réflexion devient quelque chose de personnelle et débouche sur quelque chose que nul ne peut prévoir à l’avance. Une étude sur soi-même se met en place et prend de son envergure à travers la réflexion personnelle qui en découle.

Mais ce n’est pas pour autant que l’on doit tout abandonner. Bien au contraire c’est là-dessus qu’il faut compter. Le rêve fondé sur l’espoir est quelque chose que nous possédons tous au fond de nous. S’il on arrive à disserter sur un sujet bien précis cela serait donc juste d’essayer. Qui ne tente rien n’a rien! Ce qui me ramène à une vieille réflexion que me fait souvent mon Grand-Père Paternel : « Quand on veut quelque chose, On peut l’avoir ».

Je dois lui reconnaître une part de vérité dans cette maxime, tout du moins ce qui en sort. Il faut pouvoir croire en ses rêves, donner libre-court à ses envies, bref jouir de la vie.

La réflexion qui s’impose à moi est celle d’établir un travail libérateur autour de moi même, de ma famille.

« Famille On t’aime! »